Anomalie congénitale : 3 à 6 % des nouveau-nés dans le monde sont concernés

L’OMS estime que plus de 300 000 nouveau-nés meurent 28 jours après leur naissance du fait de malformations congénitales. Les enfants qui survivent souffrent quant à eux d’incapacité ou de handicap à long terme. Jusqu’à présent, il est difficile de déterminer avec exactitude la cause d’une anomalie congénitale. Cependant, la communauté scientifique s’accorde à dire que la génétique, l’infection et l’environnement peuvent être l’origine d’une malformation congénitale. Le syndrome de Down et la mucoviscidose sont par exemple causés par des anomalies génétiques. Ceci étant, il est possible de prévenir certaines malformations d’où l’importance de la sensibilisation sur les anomalies congénitales. La journée mondiale sur les malformations congénitales est ainsi un moyen de sensibiliser le grand public sur ce sujet.

Prévenir les anomalies congénitales

La journée mondiale des malformations congénitales se déroule chaque année le 3 mars. Il permet au corps médical et à diverses associations partout dans le monde de mettre en lumière les anomalies congénitales, d’expliquer la difficulté de la prise en charge des enfants (surtout dans les pays en voie de développement) qui en sont victimes, etc. et surtout de rappeler les mesures préventives pour éviter les anomalies congénitales.

Pour réduire les facteurs de risque d’anomalies congénitales, les femmes enceintes doivent suivre un régime alimentaire sain, équilibré et maintenir leur poids santé. Elles doivent avoir un bon apport en vitamines et minéraux. Le tabac, l’alcool, les drogues leur sont interdits. Également important, elles doivent éviter les villes ou régions touchées par une ou des infections connues pour être associées à des troubles congénitaux. Tous les médicaments ou les rayonnements à des fins médicales à destination des femmes enceintes doivent être justifiés. Par ailleurs, elles doivent être vaccinées contre la rubéole, etc. Enfin, il est important que les couples fassent un dépistage avant de concevoir pour vérifier qu’ils ne présentent aucun risque de troubles spécifiques ou de transmettre une anomalie à leurs enfants.

Quels sont les avantages de donner naissance à domicile ?

L’accouchement à domicile est une pratique peu courante en France par rapport aux autres pays européens. Pourtant, il existe et beaucoup de sages-femmes exercent ce métier à temps plein. Certaines femmes choisissent cette méthode du fait de sa praticité. La sage-femme fait le suivi à domicile tout au long de la grossesse, la future mère n’a donc pas à se déplacer. Seules les échographies et les analyses de sang requièrent le suivi d’un praticien. Accoucher à domicile permet également à la future maman d’accueillir son enfant avec calme et sérénité dans un environnement familier et relaxant.
Bien que l’accouchement à domicile soit tout à fait légal, il arrive que certaines conditions ne permettent pas à la future maman d’enfanter dans sa maison : bébé en position siège, diabète gestationnel, antécédent de césarienne, etc.

De quels équipements médicaux la sage-femme a-t-elle besoin pour réaliser un accouchement à domicile ?

Le jour de la délivrance, la sage-femme a besoin de quelques matériels médicaux pour mener à bien sa mission :
Un matériel monitoring complet tel qu’un échographe, un cardiotocographe et un doplerfœtale : afin de s’assurer de la santé du bébé dans le ventre de sa mère.
Les matériels de bases de la sage-femme qui sont composés de ciseaux, de pinces, de quoi arrêter une hémorragie, et aussi de l’équipement pour oxygéner le bébé en cas de besoin.
Du matériel de suture est aussi nécessaire dans le cas où la sage-femme ait besoin de recoudre le périnée.

Quel est le métier du réparateur de sondes

Pour les praticiens qui l’ignorent encore, la sonde est la pièce de l’échographe que le médecin fait glisser sur la peau de la patiente. Prenez rendez-vous avec le réparateur de sondes d’échographe PRS Healthcare si l’appareil fait des clichés flous. Faites-le si vous avez du mal à manipuler la sonde correctement malgré votre expérience. Cherchez ses coordonnées si des messages d’erreurs apparaissent. Si la patiente se plaint de douleur lorsque la sonde est en contact avec son corps, n’écartez pas un éventuel problème avec ce composant essentiel de l’échographe. Contactez également ce technicien qualifié si vous repérez des dommages sur la sonde.

Faites la distinction entre réparateur d’échographe et réparateur de sondes d’échographie

Un réparateur d’échographe est un technicien polyvalent. Il maîtrise l’appareil dans son intégralité ainsi que son fonctionnement global. Il sait détecter d’où vient une panne et il sait comment la réparer. Malheureusement, en raison de sa polyvalence, il ne peut se focaliser sur la réparation d’une pièce spécifique. Dans le cas des sondes, c’est problématique. À la rigueur, si une de vos sondes est endommagée, il vous demandera d’acheter une nouvelle pièce et c’est lui qui l’installe sur l’échographe. Voilà pourquoi il vaut mieux confier votre sonde d’échographie à un réparateur de sondes. Lui, il répare la pièce tant que c’est faisable. Il a les compétences techniques pour mener à bien la réparation et il dispose des aptitudes pour réaliser convenablement cette tâche.

Pour soigner les patients, le personnel médical utilise différentes sortes de matériels. Ces derniers peuvent servir à réaliser des tests ou à prodiguer des soins. Selon leur emploi, ces équipements sont classés en différentes catégories.

Les différentes catégories de matériels médicaux

Dans le domaine médical, il est important de réaliser un diagnostic. Cela permet d’en savoir davantage sur la maladie du patient. Pour effectuer ce genre de chose, le personnel médical a recours à des appareils de diagnostic médical. Il y a, entre autres, le scanner, l’IRM, le glucomètre ou encore le stéthoscope. D’autres matériels sont utilisés pour traiter les maladies. Ils servent, par exemple, à administrer des médicaments. De plus, des équipements médicaux innovants ont été fabriqués pour aider les patients à guérir rapidement. On en rencontre quelques-uns dans le domaine de la kinésithérapie. On cite, entre autres, les matériels dédiés à la rééducation. Il faut du temps pour réussir à les maîtriser. Tout dépend de la gravité de la maladie.

Certains équipements sont aussi sollicités par les médecins pour assurer la survie des patients. On les trouve surtout dans les services d’urgence. Effectivement, ils sont utilisés pour les situations critiques. Parmi ces équipements, il y a les ventilateurs médicaux, les bouteilles d’oxygène et leurs accessoires, sans oublier les appareils de dialyse. Sans ce genre d’équipements, certains patients peuvent ne pas survivre. Les matériels de laboratoire font aussi partie des nécessaires médicaux. Ils servent à réaliser des analyses afin d’identifier si quelque chose d’anormal se produit dans l’organisme du patient. Pour pouvoir utiliser ce type d’appareil, les laborantins ont toujours besoin de substance provenant du patient. Il peut s’agir de sang ou d’urine.

Où s’équiper en matériels médicaux ?

Les acteurs de la santé doivent avoir les matériels adéquats pour exercer leur métier. Cela constitue également le meilleur moyen d’assurer des soins de qualité. Pour pouvoir équiper son personnel, les responsables des établissements médicaux peuvent faire appel à un distributeur de matériel médical. Spécialisé dans la vente de fournitures médicales, ce type de fournisseur propose différentes sortes d’équipements médicaux. Pour être sûr de proposer des matériels performants, il a recours aux meilleures marques. Effectivement, afin de donner aux patients des informations exactes, il est important d’utiliser ce genre d’équipement.

Les hôpitaux et les cliniques ne sont pas les seuls à pouvoir s’équiper chez ce professionnel. Les cabinets et les collectivités peuvent également y recourir. Que ce soit des spécialistes ou des généralistes. Étant donné la multitude de matériels médicaux proposés par ce distributeur, il est tout à fait possible de commander tout ce dont on a besoin au même endroit. Ce qui permet de gagner du temps. De plus, il propose des équipements de protection pour les patients et les professionnels de la santé, quel que soit le milieu dans lequel ils travaillent. Il y a, entre autres, des masques, des gants ou encore des blouses et des casaques de chirurgie. Des draps d’examen sont aussi mis à disposition des établissements médicaux. Leurs caractéristiques sont assez variées.

La tension artérielle élevée

Lorsque la tension artérielle d’une personne est trop élevée, cela met en danger sa santé. On appelle ce phénomène, de l’hypertension. Concrètement, subir une hypertension montre que les artères de la personne présentent une dysfonction. Ces dernières deviennent plus épaisses et plus dures, empêchant le sang de circuler normalement.
Les conséquences de l’hypertension artérielle sont alors automatiquement les risques de rupture d’anévrisme et les infarctus. D’autres cas moins graves mais tout autant dangereuses se montrent en tant qu’insuffisance rénale et cardiaque, ou encore sous de nombreux problèmes cérébraux.

La tension artérielle basse

Lorsqu’une personne présente une tension artérielle basse qui est appelée hypotension, ce n’est pas aussi grave que de faire de l’hypertension artérielle. En effet, il y a moins de risques de présenter des maladies cardiovasculaires si la tension se situe dans les 11,5. Cependant, si elle descend à 10 et moins, il faudra commencer à s’inquiéter.
La personne peut se sentir étourdie qui va jusqu’à des malaises pendant un certain temps. C’est surtout chez les personnes âgées que cela se produit, et elles subissent une grande fatigue qui peut devenir dangereuse. Si une personne fait de l’hypotension, il faudra voir un médecin très vite, car cela peut cacher d’autres maladies. Il faudra également noter que la tension artérielle d’une personne varie au cours de la journée et des activités qu’elle pratique. Il est donc important de bien la surveiller.

Au coeur du métabolisme

Système hautement complexe, le métabolisme détermine la vitesse avec laquelle le corps brûle les calories. Il détermine de même l’efficacité avec laquelle le corps le fait, ainsi que la quantité de calories que l’on peut ingérer sans prendre du poids. En fait, chacun doit faire en sorte que son métabolisme soit en bonne santé car cela permet de ralentir les effets du vieillissement, de perdre du poids et améliore l’humeur. En réalité, il existe trois types de métabolisme : d’abord le métabolisme au repos qui détermine la quantité d’énergie dépensée avec un minimum d’activités, puis, le métabolisme actif qui est en action lorsqu’on fait des exercices et enfin la thermogenèse, ce qui représente l’énergie utilisée par le corps pour consommer et digérer les aliments.

Lorsque le métabolisme n’agit pas correctement

Un régime amaigrissant trop brusque et sur une période trop longue par exemple peut ralentir le métabolisme. La partie du cerveau qui gère le métabolisme va diriger l’énergie du corps, qui reste, uniquement vers les organes vitaux, ce qui va provoquer la baisse du métabolisme. Le manque de sommeil peut aussi perturber sérieusement le métabolisme. En fait, une seule nuit d’insomnie suffit pour modifier le métabolisme et enclencher le processus de prise de poids. Une carence en protéines est une autre raison qui pourrait bouleverser le métabolisme, s’il n’y en a pas assez dans l’alimentation ou si on n’a pas l’habitude de prendre le petit-déjeuner ou de sauter des repas.

Test de paternité par comparaison de sang

D’un point de vue juridique, c’est le moyen le plus fiable pour déterminer avec exactitude la filiation du père et d’un enfant. Pour réaliser le test, on prélève un peu de sang des deux personnes concernées. On effectue l’analyse dans un laboratoire. Si les groupes sanguins sont compatibles et les empreintes des deux individus correspondent, aucun doute ne peut subsister sur les liens génétiques du présumé père et l’enfant. Toutefois, il faut que le test soit fait dans un laboratoire agréé et certifié par des normes spécifiques pour être crédible.

L’analyse des cellules buccales

L’analyse des cellules buccales est la méthode la plus simple à réaliser pour déterminer un lien de parenté. Pour ce faire, il faut insérer un écouvillon propre à l’intérieur de la joue de la personne à tester pour extraire un maximum de cellules. Le second est à mettre sous la langue assez longtemps pour l’imprégner d’un maximum de salive. Ces opérations sont à faire à jeun le matin. Il faut aussi éviter de mâchouiller du chewing-gum, de fumer et de boire du café 4 heures avant d’effectuer ce genre de test pour que le résultat soit sûr. Une fois le prélèvement d’ADN fait, on envoie les échantillons dans un laboratoire certifié comme www.vaterschaftstest-dna.com pour faire l’analyse de compatibilité. Le résultat est fiable à 99,99%. Par contre, sans l’ordonnance d’un juge, il n’a aucune valeur légale et juridique. Si vous désirez ainsi utiliser le résultat pour obliger un père à prendre ses responsabilités envers l’enfant, pour se défaire de ses obligations de père, pour obtenir son héritage, etc., vous devez effectuer des démarches auprès de la justice pour réaliser un test de paternité.

Se faire accompagner ou non

D’abord, il est nettement préférable que l’initiative de la première consultation vienne de la jeune fille. En général, les filles commencent à ressentir le besoin de consulter un gynécologue à compter du moment où elles sont sexuellement actives. Mais, certaines choisissent aussi de rendre rendez-vous pour d’autres motifs : simple besoin de conseils, prendre conseil sur les différentes méthodes contraceptives, etc. De même, il est important que la jeune fille puisse choisir le professionnel de santé qui lui convient (médecin généraliste, sage-femme ou gynécologue). En tant que maman, vous n’avez pas le droit de l’obliger de consulter votre gynécologue. En réalité, l’idée est de faire en sorte que la jeune fille soit totalement en confiance. Ainsi, elle est aussi libre de choisir de faire accompagner ou non. Par ailleurs, la loi autorise les contraceptions aux mineurs sans qu’elles obtiennent l’autorisation de leurs parents.

Faire un examen gynécologique

Sachez que l’examen gynécologique n’est pas systématique, encore plus lorsqu’il s’agit de la première consultation. Dans la mesure où la première consultation n’est pas liée à un motif médical, la séance peut se résumer à un interrogatoire concernant les antécédents médicaux et familiaux. Le professionnel de la santé interroge sur ses règles (date de la première menstruation, intensité, durée, régularité, etc.) et sur sa vie sexuelle (active ou non active, monogamie ou polygamie, etc.). De même, il n’est pas nécessaire de procéder à un examen gynécologique au cas où la jeune fille consulte pour obtenir sa première prescription de pilule. Le professionnel de santé profitera seulement du moment pour lui rappeler les règles d’une bonne hygiène intime, des conseils sur la bonne utilisation de la pilule et éventuellement de lui rappeler l’importance de se protéger contre les MST.
Il est à noter que l’examen gynécologique n’est recommandé que lorsqu’il est utile de faire un examen de l’utérus, des ovaires et du périnée. Aussi, la pratique du frottis vaginal (ou prélèvement de quelques cellules vaginales) n’est recommandée qu’à partir d’un certain âge (idéalement à partir de 20 ans). Il faut d’abord que la jeune fille (qui n’est plus une adolescente) ait une vie sexuelle et qu’elle soit bien rassurée sur la pratique de l’examen au risque de la brusquer.

Accoucher naturellement et sans souffrance physique

Une femme enceinte a 9 moins pour se préparer pour la naissance de bébé. Elle a largement le temps de décider du déroulement de l’accouchement. Cette délivrance peut se faire naturellement. Le moment venu, elle devra endurer le travail et pousser au bon moment pour avoir bébé. Pour que ce moment soit moins douloureux, l’on propose des exercices axés sur le souffle pour aider la future maman à se focaliser sur l’effort et oublier la douleur. La sage-femme apprend aux femmes enceintes cette technique pendant les séances de consultation prénatale. Ces entrevues lui donnent l’occasion de parler des différentes éventualités lors de la délivrance. Si la délivrance montre quelques difficultés, il est possible par exemple que la future maman subisse une épisiotomie. C’est une microchirurgie qui consiste à faire une entaille de quelques centimètres pour aider le passage de l’enfant. Un mal pour un bien, cette déchirure se recoud après la naissance du bébé.

Envisager une assistance médicale ou chirurgicale

La péridurale est une solution qui consiste à injecter un produit anesthésiant au niveau des vertèbres lombaires. La seringue permet d’atteindre les muscles pelviens. La femme ressent moins de souffrance puisque ces nerfs sont beaucoup moins sensibles que d’ordinaire. Bien que controversée, la péridurale facilite le passage de l’enfant. Elle peut tout de même avoir quelques inconvénients. La mère devra par exemple rester un peu plus de temps au lit pour récupérer. L’anesthésie change l’expérience de la maternité pendant les premiers jours. Certaines femmes disent également la péridurale entraîne sur le long terme un mal de dos. Pour vous en assurer, prenez le temps d’en discuter avec votre gynécologue.
Pour ce qui est de la césarienne, cette intervention chirurgicale lourde devrait normalement être justifiée par une raison médicale. Les soignants la recommandent notamment dans le cas d’un bassin étroit ou une grossesse à risque, quand bébé se présente dans une mauvaise posture, etc.

Des méthodes alternatives pour accoucher sans douleur

Un accouchement naturel par voie basse peut se passer avec peu de douleur ressentie. Le secret de cette délivrance sans souffrance repose sur une bonne préparation psychologique. La femme enceinte peut commencer par apprendre à gérer son stress très tôt. Certains exercices peuvent aussi aider à surmonter la peur d’avoir mal. Des conseils sur www.accouchement-naturel.com peuvent aussi aider la future maman à mieux surmonter la douleur. Des cours sont proposés à cet effet. Il s’agit de séances complémentaires à celle de la consultation prénatale. Le yoga est envisageable. Certaines postures permettent en effet de mieux assouplir le bassin. Avec des muscles toniques, le passage de bébé devient moins pénible. Puis, la position de l’accouchement peut être travaillée de manière à ne pas ressentir la douleur. Des méthodes telles que l’acupuncture ou le bain d’eau tiède au moment des contractions devraient être envisagées. Il faut juste en parler avec son gynéco-obstétricien.

Choisir son matériel

Prenez le temps de bien étudier les offres proposées par les fabricants d’équipements professionnels. Au besoin, demandez des références auprès de vos pairs pour optimiser votre choix. Afin d’obtenir plus d’informations sur l’essentiel des équipements nécessaires à l’aménagement d’un cabinet dentaire, le mieux est de consulter un magasin spécialisé. Vous pourrez y trouver tous les fournitures indispensables pour votre activité et aurez la possibilité de faire le choix entre diverses marques.

Les critères essentiels dans le choix du produit

Afin de garantir la qualité, la pérennité et la sécurité de vos produits, référez-vous aux fabricants réputés dont la marque est déjà connue par la profession. Dans le meilleur des cas, évitez les matériels d’occasion qui recèlent déjà des vices cachés. Il vaut mieux demander une aide financière ou demander un prêt bancaire pour bien s’équiper. Renseignez-vous également sur les caractéristiques de votre produit. Même avec les mêmes fonctions, chaque produit admet des petits plus qui peuvent faire la différence. Faites donc attention au choix du modèle. Enfin, le prix ne devrait pas être une question budgétaire, il devrait également vous renseigner sur la qualité et la gamme de produit. Réalisez des comparaisons de prix pour en faire une conclusion.

Quelques outils à se procurer

Lorsque le matériel du dentiste est complet, il est bien équipé pour prodiguer les meilleurs soins à son patient. Nous vous listons quelques-uns des outils qu’il devrait avoir sous la main.
• Les pinces
Ces instruments servent surtout à faire des soins de base comme désinfecter la bouche, à examiner la dent à traiter, à insérer et à retirer des cotons tiges.
• Les outils de coupe
La dénomination des outils de coupe peuvent porter à confusion, mais ce sont bel et bien des effets de dentisterie. En outre, on retrouve, la pelle, le ciseau ébrèche, les hachettes, les lames de coupes ou encore la cuillère.
• Le miroir
Très indispensable pour le dentiste, le miroir lui sert notamment pour visionner en profondeur l’intérieur de la bouche afin de bien cerner la dent à traiter, surtout lorsqu’il s’agit d’un molaire.
• Le probe
Le probe est sollicité pour réparer un émail endommagé. Le dentiste l’utiliser pour gratter et reconstituer la surface détériorée.
• Le forceps
Contrairement aux petites pinces, le forceps est doté d’un bon grip permettant de faciliter l’extraction d’une dent abimée.
• La table électrique
Bien évidemment, sans cette table, il serait assez difficile de s’occuper d’un patient. Renseignez-vous sur les modèles et les fabricants qui en proposent afin d’établir votre choix.