Est-il possible d’influencer les sexes de l’enfant durant la grossesse ?
Beaucoup de personnes ont tendance à vouloir définir le sexe de leur enfant avant même qu’il naisse. Chez certaines personnes dans certains pays, cela peut se transformer en une véritable obsession qui les conduit à adopter des pratiques parfois fantaisistes. Est-ce vraiment possible, et si oui, comment faire ?
Que dit la science?
La thèse qui indique le sexe du bébé dépendra de alimentation est née dans les années 60 quand des chercheurs ont décidé d’étudier l’impact de certains composants de l’eau sur les batraciens. Ils en ont conclu que la naissance des fêtards mâles est influencée par le potassium, alors que pour avoir des têtards femelles, il faut ajouter du calcium dans l’eau. Les résultants de ces recherches ont cependant, suscité de nombreuses réactions. Selon certains scientifiques, ceux-ci n’est pas applicables chez les Etres qui vivent hors de l’eau. De nombreux paramètres comme le pH du vagin et l’alimentation de la mère et du père n’ont pas été pris en compte. De nouvelles recherches ont été alors réalisées dans les années 70, cette fois sur des humains. Avec ces études, ils ont réussi à créer un régime spécial que le couple doit adopter au plus tard trois mois avant la conception. Celui-ci a pour objectif de créer un milieu acide dans le vagin pour que les spermatozoïdes puissent circuler plus facilement.
L’important de l’acidité du vagin
Un environnement trop acide du vagin et de l’utérus n’est pas favorable pour les spermatozoïdes Y, responsables du sexe masculin de l’enfant. Les voies génitales de la femme doit avoir un pH inférieur à 7. Pour avoir une fille, il est primordial de créer un environnement plus acide dans les voix génitales de la femme. Certains spécialistes condamnent pourtant ces pratiques, car elles pourront avoir un impact sur la fertilité. Elles peuvent également favoriser la vaginose.
La loi éthique
Certaines techniques médicales donnent l’occasion de aux parents de choisir le sexe du bébé pour éviter certaines maladies génétiques. L’hémophilie est par exemple une maladie qui touche exclusivement les garçons. Sun membre de la famille a été diagnostiqué hémophile, le médecin peut intervenir sur le sexe de l’enfant, afin d’isoler les gènes porteurs de la maladie. Il n’a pas le droit de réaliser cette pratique si aucun risque n’est détecté, car la loi éthique l’interdit formellement. Il pourrait-être sanctionné.